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Tout Simplement Nousse...

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26 janvier 2010

L'art sous toutes mes formes ...

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25 janvier 2010

Avalanche de plaisir...

Tu soulignes de tes doigts l'élastique de ton caleçon en une danse du bassin, invitation de tes mains, appel de l’envie pour que je m'intéresse à ton corps.
Je réponds à cette tentation, l'important n'est-il pas tout simplement de vivre, cueillir l'intensité d'un moment?
Alors j’y réponds sans plus attendre, je me penche sur ton torse, les sillons humides de ma bouche sur toi provoquent en moi un échauffement envoûtant.
Je m'arrête sur un mamelon, durcit par l'excitation, mes lèvres ourlées l’enserrent. Ma langue le caresse, mes dents le titillent délicatement, doucement, suavement... humm petite mise en bouche !

Quelques instants encore je m'attarde, puis je descends, lentement, laissant une trace mouillée sur ton ventre, je sens que ton bassin se tend vers moi, quelle impatience ! Mes cheveux glissent et frôlent ta peau, diffusant des sensations douces, agréables et j'arrive à ce fameux élastique, de mes dents je le saisit pour ouvrir cet écrin, de mes doigts, je descends lentement ce caleçon pas si « coton » entre toi et ma bouche. Échange de procédés, tu me prêtes ton corps, je te prête le mien, je commence par t'offrir ma bouche. Te voilà libéré, totalement nu, d'une nature gourmande je me trouve devant cette montagne à gravir sur la voie de ma féminité. Penchée sur toi je m'empare de cette tige, gonflée, tendue, avide du contact physique, d'une muqueuse douce, enveloppante, pour l'iriser.
Mes lèvres l’entourent doucement, puis par de très léger mouvement, juste en son sommet, je te happe telle une surprise finalement attendue… Ma langue, mes lèvres caressent, enveloppent, sucent, aspirent, lèchent, tout cela dans un ralenti extrême ! J'accentue la pression et descend lentement encore plus bas, plus loin, tu occupes désormais totalement mon espace. Mes caresses continuent, je t'entends soupirer, hummm quels sons flatteurs à mes oreilles. L'intensité de ta voix aiguille ma créativité.
Suspension du temps, courtes ou longues minutes, je ne sais plus mais qu’importe c’est tellement bon ! J'ai envie que tu me parles, que tu me dise ce que tu aimes, ce que tu souhaites... Je continue avec l'idée de te procurer une sensation diffuse s'étendant à tout ton corps, une concentration de sensations brûlantes. Tu éclates enserré dans ma bouche, tu livres l'ultime expression de ton désir. Tu exultes, oh oui encore mon cœur…

Ta tête penchée sur mon ventre, tes mains naviguent sur ma peau, je ne suis que désir comme un volcan en ébullition, sa lave brûlante dans mon ventre s'insinue. Tes lèvres ourlées emprisonnent mon épicentre, tes doigts impudiques se glissent et ondulent dans ce fourreau humide. La pulpe de ton doigt se pose sur mon ultime chambre interdite, invitation circulaire délicatement appuyée invite mon corps à se donner totalement. Pression verticale, qui envahit cette zone se réclamant à être occupée complètement.
Sensation de vide, je te souhaite invasif, téméraire tel un amant passionné, je te veux partout en moi, pour atteindre cette béatitude. Autoroute de plaisirs, j'ondule sous tes doigts. Ma chute de reins animée comme dans une danse animale, ancestrale, irrépressible, s'arque boute. J'irradie de toutes ces invitations impudiques à aller plus loin dans le plaisir. Je me laisse emmener loin de mon esprit, mon corps ne m'appartient plus. De tes mains vagabondes révélatrices des sens tu soulignes ma féminité. Mes cellules telles des lucioles échauffent mon corps. Le plaisir intense est de plus en plus fort, diffuse et rayonne partout. Des spasmes, soubresauts, tensions en suspens, lancent une figure corporelle extatique, un feu d'artifices éclate sous ma boîte crânienne, apogée d'une harmonie colorée m’amenant vers le paroxysme du plaisir. Game Over !!!

Je deviens poupée de chiffon lovée contre ton corps chaud, plus aucunes résistances, tu signe ta Victoire ! Je me reprends, reviens, détendue, shootée par cette avalanche de plaisir apaisante, finalement encore plus vivante.

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18 octobre 2009

Invitation au jeu...

Invitation au jeu... Je dois m'approcher comme une féline, en me saisissant contre ton torse... tes doigts dans mes cheveux, tout en douceur, très lentement. Ta bouche embrassant mon cou et tu commenceras à voir que cela me plait : mes soupirs t'exciteront, ils t'enflammeront et patiemment, j'allumerai ta flamme, guidant tes mains sur mes hanches...

Invitation au jeu... Je dois me déshabiller, me laisser bander les yeux, cette sensation m'affolera et je te donnerai tout de moi et tu en raffoleras, ta passion s'amplifiera... Soudain tu te raidiras et je sentirai que tu frissonnes car tu le sais, quel est le faible des hommes...

Invitation au jeu... Je m'inclinerai devant tes désirs en embrassant tes mains qui me montreront le chemin où se situent tes plaisirs. Tu me guideras dans l'intensité, crois-moi nous nous enflammerons en faisant naître en nous un ouragan en satisfaisant nos moindres penchants...

Invitation eu jeu... Dis-moi où veux-tu que j'aille, que veux-tu que je fasse... Tes regards me plaisent, tes lèvres m'obsèdent, tes caresses font que je me laisse aller. Accorde-moi maintenant toute ton importance, pénètre-moi passionnément, tes envies sont si voraces...

Invitation au jeu... Oui envie de jouer !!!

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7 août 2009

J’ai rêvé ou quoi ???

Je pose ma main sur mes fesses comme si cela pouvait me donner une indication sur ce qui c’était passé la nuit dernière. Je me lève de ma chaise, quitte mon bureau et prend la direction des toilettes pour vérifier… J’ai cette impression d’avoir une main sur ma fesse gauche. Je me retourne doucement, comme pour ne pas découvrir trop tôt si mon rêve était une réalité ou pas !
Aucunes traces de son envie sur mes fesses, point de couleur rouge et pourtant quel moment érotisant que de sentir voire quémander cette sensation... Point n'en faut, point trop de douleur... juste se laisser électriser par le picotement ressenti et le claquement qui siffle à l'oreille... hummmm je m'emballe là!

Ouff me voilà rassurée, pas de traces mais un petit sourire malicieux revient instantanément, au moment où mes fesses se posent sur la chaise… Agréables sensations de picotements qui ne me quitteront pas de la journée…

Ce n’était pas un rêve !!!

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3 août 2009

Ne jamais dire jamais...

Quel divin plaisir mon regard sur ses mains, mes yeux s'aventurent à distance mais la mâle chair m'attire plus près car les blanches paumes réveillent mes sens, me frôlent et me font de l'effet… Premier frisson, premier émoi… Ses doigts virils frôlent les miens d'une douce tiédeur et cette invitation me charme et me donne envie de l’embrasser, de jouer, de le caresser de mes ongles tout doucement. Hummm ses mains, belles, elles ont traversées le temps, sont patinées d'éternelle jeunesse et sont félines dans chacun de leurs mouvements… Terriblement sexy les diablesses !!

Un effleurement de tous les danger car à les toucher j'en perdrai la raison mais la pudeur m'impose à respecter ce rendez vous chaste que je lui avais fais promettre… Mais faut il vraiment que j'écoute s'éloigner la tentation ! Émoustillée j'entends au fond de moi, cette envie impatiente me chuchoter ses désirs pressés, mêlés d'émoi et cette attirance menant au baiser… Premier contact incontournable après le confirmation des frissons transmis d’une main vers une autre peau… Hummm ces main me parlent, leurs gestes d'un parfait érotisme dessinent mes courbes de délires ardents et sublimes et allument le feu fantasmatique…Pulpe irrésistible que je sucerai bien par petits bouts pour qu’une faim indescriptible me prenne. Est-ce un péché gourmand ? Oui je vous l'avoue…

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14 juillet 2009

Le langage de la peau...

Effleurement d'une main qui caresse telle à une plume qui se fait douce, si légére qu'elle semble ne pas être là... et pourtant elle continue de découvrir cette peau qui lui parle, doucement, lentement... Laisser cette main jouer de cette sensation que la peau lui procure, comme une mini électrisation qu'elle a, là, juste au bout des doigts. Ces doigts qui deviennent l'instrument d'un plaisir simple... Ces mêmes doigts qui balayent du bout des ongles cette chair qui lui communique une douceur, une tendresse, une envie de continuer à papouiller, pour le plaisir de se laisser aller, de laisser une main en frôler une autre, de se poser négligammant sur une cuisse ou bien venir de se nicher au creux des reins. Sensation douce à la main qui tendrement danse, virvolte et ce survolte...

Pourquoi? Tout simplement car cette peau parle à cette main...

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17 février 2009

Une nouvelle Etoile...

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21 décembre 2008

A l'écoute, l'éveil de sens...

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Je sens ton corps glisser sur le mien, le moindre creux, la moindre courbe s'imprimant sur ma peau, dans mon cœur se dessinent, se redessinent dans mon esprit. Tes mains courent sur mon écorce : sensation indescriptible qui parcourt le corps, des pieds à la tête, le cœur à la fête... Monte, remonte, descend, redescend, adule, cajole, effleure et embrasse... Câline, chouchoute, adore et papillonne, tourne et retourne, découvre et chérit : Massage euphorisant, bonheur envahissant, caresses euphoriques...

Oubli de l'environnement, du lieu. Oubli de l'espace-temps, de la menace du temps qui passe toujours trop vite. Si vite... Amnésie passagère... Mais tes lèvres se promènent, me ramènent à ce que j'aime, à toi, à nous... A nos corps enlacés, emmêlés, entremêlés, à nos chairs en sueur, en chaleur, tout en douceur. Effervescence des sens, ébullition, exaltation, à travers le langage du corps, peu de parole. Révolution soudaine, la flamme devient feu, vertiges, apothéose, jusqu'à l'extase...

La passion ne se transmet pas par les mots, seules les sensations importent, tout passe par les sens....

16 décembre 2008

Amante, Amant...

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Amante et amant dans le vent glacial courent en rêvant sans cérémonial, amante et amant que le temps sépara, s’en vont follement vers leur nid d’apparat. Amante et amant, beaux tourtereaux volent au temps... tendres marauds, amante et amant sur la couche chaude oublient le temps et marivaudent...

Amante et amant se disent «je t’aime» et quelques heures durant, s’écrit le divin poème, celui des amants, des amants qui s’aiment malgré le temps passant, amoureux bohèmes...
Puis, les amants, le cœur battant se quittent un temps, mon dieu que c’est frustrant ! Mais les amants de retrouvent un soir, toujours plus aimant... Le temps de surseoir. Amante et amant, Amour étonnant, Désir virevoltant, Feu dévorant …Que deviendront-ils ? Amante et amant que l’on croit si futiles et pourtant demain, avec le temps...

8 décembre 2008

Ta bouche, tes baisers...

5g3ks3lwEndormie, étendue en travers du lit avec un simple drap sur le corps. Couchée sur le ventre, la tête reposant sur le bord légèrement penchée vers le bas, la nuque offerte …
Après une approche silencieuse, s’abaissant jusqu’à moi, tes lèvres s’étaient posées sur mon cou. Un léger frémissement et, par petits déplacements successifs de la tête, livrait mon cou aux baisers qui parcouraient ma chair tiède et tendre depuis la naissance des cheveux jusqu’au contour de l’oreille. N’épargnant aucun recoin, ils s’aventurèrent jusqu’à l’épaule qu’ils dénudèrent laissant apparaître cette ligne qui menait à l’autre partie du dos…
Ils remontèrent jusqu’à la nuque parcourant les mêmes contrées symétriques, repassaient, revenaient, pour repartirent ensuite vers les zones dorsales encore vierges de caresses et qui frissonnaient sous l’avancée saccadée de ce frottement humide et chaud qui frôlait à peine sans s’attarder nulle part, passant furtivement, humectant sur son passage cette peau lisse légèrement brunie. Ils descendaient par petites touches saccadées, remontant parfois pour mieux redescendre, titillant aux passages les flancs parcourus de tremblements. Ils restèrent un peu en contrebas de la pente et traversaient en un lent va-et-vient cette partie sensible dont les roulements voluptueux poussaient à la débauche. Ils frôlaient la naissance de cette fente séparant deux collines de chair chaude qui vibraient dans l’obscurité, s’écartaient en offrande et se rapprochaient fermant la voie et prolongeant l’attente.

Tes lèvres pourtant ne voulant quitter ce lieu de délice s’attardèrent passant et repassant laissant échapper une fine bave pour permettre le glissement; elles remontaient sur les pentes redescendaient goûter le petit orifice l’entrouvrant légèrement et remontant sur le versant opposé, revenant passer la pointe humide et charnue qui s’attardait sur cette chair légèrement rosée et la caressait, pénétrant de temps à autre la petite cavité qu’elle creusait avec délicatesse...

Dans une poussée d’excitation, tes baisers grimpèrent brusquement sur ces rondeurs charnues où ils devinrent de délicates petites morsures pour mieux goûter la chair tiède. S’égarant sur ces monticules animés d’un roulis enivrant, ils sautaient de l’un à l’autre pardessus la fissure crispée et remontant vers le dos vinrent soudain buter contre son ouverture qui s’entrouvrit légèrement invitant à l’aventure. Ils pénétrèrent dans cet évasement qu’ils remontaient avec une frénésie d’humidité et de souffle chaud au fur et à mesure que s’entrouvrait la voie comme une vallée interdite éloignant ses versants devant les sortilèges, et où les frottements prenant un peu plus de violence devenaient râpement. Enfin cette bouche en sueur buta sur un morceau de chair ronde irisée qu’elle étreignit en une légère morsure à laquelle répondit une plainte sourde de concupiscence déclenchant un écartement subit du vallon facilité par la cambrure et qui lui offraient toute une destinée.

Enfin comblée, ayant suffisamment fatigué cet iris, ta bouche en furie continua sa course folle vers la source suintante qui luisait dans la pénombre comme une bouche exaltée que ce corps gémissant et cambré offrait à celle qui tardait à venir. Celle-ci comprenant l’invitation, troublée par la demande, en pris possession avec fureur et la pénétrait avec violence. Elle n’en émergeait que pour happer le petit bout de chair en feu qui se blottissait dans la commissure, l’enveloppant dans ses mandibules, le rejetant pour mieux le dévorer à nouveau, elle glissait sur toutes les chairs les frictionnant, les aspirant ou les pénétrant avec fureur... Ces deux bouches se cherchaient, s’abandonnaient pour enfin se rejoindre et se frottaient avec une frénésie de plus en plus intense et finirent par se confondre. En cet instant, les deux paires de lèvres fusionnèrent, s’immobilisèrent, collées les unes contre les autres, se laissèrent balancer par le tremblement qui soudain s’emparait de tout le corps laissant échapper une longue plainte comme un hurlement sourd...

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26 novembre 2008

Ailes, envolée de frissons, envie d'Elle...

Sur sa nuque, doucement je déposerai un baiser, puis d'autres, j'aurai toujours cette envie de l'embrasser,
Vers son coeur, délicatement je glisserai ma main pour caresser du bout des doigts la rondeur d'un sein... Puis je dévorai ses lèvres et l'aurai même mordue car nos langues impatientes se toucheraient sans retenue. Et ma bouche gourmande chercherai sa chaleur comme attirée malgré elle par son goût, son odeur...

Dressée comme pour mieux s'offrir à mes succions, sa poitrine m'offrirai les plus excitants tétons, aréoles, sous ma langue, déjà brunies... Vibration de son corps, doux plaisir de ses envies... Une main caressante descendrait dans sa brune toison et se dessinerai un passage au milieu de ses sillons, n doigt, puis un autre se glisseront dans son intimité et en ressortiront mouillés par son bouton d'amour attisé...

Mon visage rejoindrai cette main avide de découvertes et ferait place à ma bouche entre ses lèvres ouvertes, la pointe de ma langue s'agiterai sur son clitoris durci, pendant que mes doigts s'affaireront au creux de son nid... Son corps tanguerait et ondulerait sous ce doux va-et-vient, le plaisir et le désir monteraient aux creux de ses reins... Son corps de Femme offert au rythme de ses cris, sensation de départ vers un monde infini... Je jouis...

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14 octobre 2008

Une Envie d'Elle...

Caressant le galbe de tes seins, je dégrafe habilement
Ce soutien-gorge blanc brodé de dentelle transparent
Aidé de mes mains avisées, ton mini slip glisse
Langoureusement le long de tes superbes cuisses…

Tu t'allonges lentement en travers de ce grand lit
Je comprends avec joie ce que tu attends de cette nuit
Je me mets à genoux au pied de notre couche
Et j'entreprends de te faire jouir au moyen de ma bouche…

Mon visage remonte le long de tes jambes nues
Qui s'entrouvent, offrant un sexe épilé à ma vue
Mes lèvres embrassent tes cuisses avec avidité
Mordillant, suçant et léchant ton intimité parfumée…

Ma langue s'attarde sur ton bouton de rose avec intensité
Rougi par le désir et que ma bouche se plaît à aspirer
Je m'abreuve avec délectation de ce nectar qui perle
De ton sexe dont ma langue caresse les lèvres sensuelles…

Lorsque ma langue titille et s'attarde sur ton clitoris durci
Par le désir, tu laisses doucement s'échapper un léger cri
Ton ventre prend le rythme et se creuse au va-et-vient
De ma bouche et de ma langue qui caresse l'entrée de ton vagin

Mes mains libres remontent le long de ta poitrine offerte
Pour caresser tes seins dressés aux pointes parfaites
La pression de mes doigts sur tes tétons affolants
Te fait tressaillir et pousser un léger gémissement…

D'un doigt tu entreprends d'accompagner d'un geste avisé
Les caresses et les baisers de ma bouche enflammée
L'insistance de ma langue dessinant des cercles humides
Autour de ton clitoris gonflé par des succions torrides….

Tes hanches et mon visage dans un même mouvement
Accompagnés par tes cris et tes gémissements
Je me délecte de ton jus coulant dans ma gorge et puis…
Un mouvement de reins, un cri de plaisir...tu jouis

Plus un bruit… simplement ton souffle court et haletant
Un baiser sur ton sexe, ton bouton de rose excitant
Je reste un moment la tête entre tes cuisses profitant
Des dernières gouttes de ton nectar s'écoulant…

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9 octobre 2008

Magie, Passion et Plaisir...

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Il n’y a rien à faire, je ne peux pas résister,
J’ai faim de ta peau et soif de tes baisers.
Je sens la douce fièvre de tes mains qui me touchent
et le goût de tes lèvres qui reste sur ma bouche.
Je veux sentir ton souffle glacé frôler mon cou et le faire frissonner,
Dévores ma peau avec de tendres baisers

Et dis moi tout bas tes plus folles pensées…

Donne moi de la magie, de la passion et du plaisir,
Aime moi sans retenue, je veux me donner à toi
Comble moi de tes prouesses.
Je ne pense qu’à tes baisers, à tes mains parcourant les courbes de mon corps
A nos gémissements, nos corps transpirant.
A ma bouche gourmande s'emparant de cette friandise
Cette sucrerie s'offrant à moi sans aucune pudeur, je n'ai qu'une envie : La dévorer encore

Mes lèvres, mes seins sur lesquels s’attardent mes doigts
Ton sexe d’où s’écoule une douce liqueur
C’est comme ça que tu te fais désirer, c’est comme ça que j’aime te croquer !
J'ai envie de toi, de sentir la chaleur de ton corps tout contre moi…
Tentation enivrante ou amour insensé? C’est un péché que j’aime partager avec toi.

15 septembre 2008

Une plume envoutante...

objet_caresse_noirSes mains chaudes se posent sur le bas de mon dos, dans la courbure à la naissance des fesses. Le contact s'établit simplement, sans bouger. Puis lentement, il effleure ma peau sur le bas de la colonne vertébrale, et remonte en appuyant doucement, puis en virevoltant, puis en effleurant à peine.
Mes vertèbres sous cette pression caressante, s'épanouissent dans un souffle. Mon dos s'ouvre, s'aère de l'intérieur. Et là, cette nouvelle douceur fait la rencontre avec mon corps, là où la plume vient de passer, la chair palpite tendrement et savoure une liberté nouvelle. Je redécouvre la douceur experte de mon amant, sa tendresse et sa sensualité.

Arrivée en haut de mon dos, la plume se repose comme au terme d'un voyage bouleversant. Elle reste posée sur mes épaules, un instant… Puis elle repart dans un mouvement tournant. Elle pousse et tire la chair, roule sur la peau, elle façonne le désir.
Je respire profondément, chaque souffle accompagne le parcours de cette plume qui se fait de plus en plus douce mais aussi de plus en plus électrisante.
Soudain, elle s'immobilise, elle s'attarde dans le creux de mes hanches, jouant du poids de toute sa légèreté pour intensifier ou adoucir la pression qu’elle exerce sur ma peau. Mon corps semble onduler, comme bercé par des vagues.
Je sais où mènent les vagues et m’y laisse porter avec plaisir. Mon ventre commence à s'ouvrir, mon dos se cambre légèrement dans l'attente de la prochaine caresse. Répondant à cette invitation subtile, il s'allonge sur moi… J’aime ce moment où le souffle perturbé dans sa course s'interrompt sous le poids de l'homme, puis retrouve petit à petit sa place. Même comprimée, ma poitrine prend de l'ampleur, épouse plus étroitement la rondeur des coussins sous mon corps.
Et puis le souffle chaud dans ma nuque qui murmure des promesses, mon cou qui frissonne, mes cheveux délicatement écartés pour offrir l'espace d'un baiser.

Enveloppée de chaleur, j’écoute le désir éclore. La plume posée va bientôt se mettre en mouvement, je le sais, comme si cette plume faisait partie de moi, et dès lors, le mouvement ne s'arrêtera plus.
Mais la plume s'attarde... IL profite de  mon immobilité brûlante. Il guette paisiblement l'instant où la nécessité de bouger surpassera le confort douillet de l'étreinte.
Lorsque cet instant vient enfin, la plume se détache du ventre pour redécouvrir avidement tout mon corps. La peau tendre, hérissée de frissons, le pousse à inventer des caresses toujours plus osées, qui transforment les vagues calmes en ouragan. Cette plume qui caresse toute ma féminité et devient autre, plus fragile et plus solide à la fois, au rythme croissant de cette rencontre hypnotique.

Mon souffle s'accélère, l'air extérieur ne suffit plus à me nourrir, je cherche une respiration dans sa bouche et lorsque nos langues se touchent, je me mets à trembler, de plus en plus violemment. Il cesse totalement de bouger, se laisse emporter par ce mouvement bouleversant qui m’amène à la jouissance… d'abord, l'étreinte se resserre à l'infini, puis le relâchement, l'air qui revient, et lui, enfin.
Il reste allongé sur moi, le visage enfoui dans mon épaule. Du bout de mes doigts, j’effleure le dos de mon cher et tendre amant, joue avec ses cheveux. Je me sens fraîche comme au réveil d'un matin de printemps, légère et généreuse. Lorsqu'il roule sur le côté pour se repose, je goûte le silence qui s'infiltre peu à peu en moi pour apaiser les dernières vagues.

Je me lève et fait quelques pas dans l'appartement, sur la table de la cuisine quelques carrés de chocolat oubliés s'offrent à moi, promesse d'un week-end heureux. Je les grignote en retournant tranquillement dans la chambre. Par la fenêtre, le ciel est étoilé.
Le dernier morceau de chocolat fond sur ma langue, je m’approche du lit et m'assoit très doucement, à califourchon sur lui. Je pose mes mains dans la courbure à la naissance des fesses, et remonte lentement le long de la colonne vertébrale… puis parées de cette plume, mes mains redécouvre mon amant…

Merci

yoba

4 septembre 2008

De ta bouche nait mon envie...

Les lèvres, la bouche, tout est dit et tout est là,
ensuite c'est l'imagination, l'observation...
qui fait que l'on ne regarde plus la bouche,
ni les lèvres de la même manière.

L'instant où l'on arrive à les dissocier du reste du visage est un instant magique...
On ne regarde plus que la bouche, que les lèvres,
qui se meuvent dans une danse ondulatoire,
et tout est permis, tout est compris,
à celui qui sait comprendre et attendre cet intant...

Les mots glissent en cascades,
ils murmurent, susurrent, suggèrent...
et  parfois la langue vient déposer ce rien d'humidité,
qui rendent encore les lèvres plus érotiques...

nbu0z6z1

4 septembre 2008

Une bien belle surprise...

MerciMa reconnaissance est très grande
Et comment pourrait-il en être autrement ?
Riche, je le suis car vous êtes mes amis
Ce que vous avez fait pour moi est merveilleux
Infiniment touchée, je le suis...

17 août 2008

Envolée de frissons...

Sa main, délicatement, prends mes cheveux les relève sur le haut de ma nuque pour me caresser de son autre main libre. Je sens en moi les frissons de plaisir qui prennent naissance dans le creux de mes reins, il pose ses lèvres à mon front et dessine lentement l’arrondi de mon visage de sa bouche qui court si sensuellement… Je ferme les yeux et me laisse aller au désir fou qui s’empare de mon corps.

De Lui avec qui j’aime être en folie de nos désirs, de nous appartenir le temps de cette union sensuelle et voluptueuse. Il capture mes lèvres, qui très vite, s’ouvre aux siennes, nos langues se cherchent, jouent l’une avec l’autre, baisers tendres, baisers de passion, baiser de folies… Dans ma tête mille feux d’artifices éclatent… Dans mon ventre une armada de papillons volent… Sur ma peau une envolée de frissons que lui seul s’est accorder. Mes bras se referment sur son corps où je me colle à sa poitrine si protectrice, si attirante.
De lui, je ne me lasse pas de le reconquérir, de le parcourir du bout des doigts, du bout des ongles, de le respirer jusqu’à m’enivrer de ce parfum d’homme qui me fait chavirer entre la réalité et l’irréalité de me retrouver de nouveau dans ses bras. De sa bouche à son cou, de son cou à ses joues où la repousse naissante de sa barbe vient m’irriter la peau quand je me caresse de lui, mais qu’importe, pour moi elle forme des traces à ma chair en manque de nous.
De ce ballet de baisers fougueux et si tendres, je le happe lentement dans mes filets de douceur et lui fait sentir combien il sciait si bien à ma peau, à mes fantasmes inavouables qu’il connaît.
Glisser de son cou à son ventre, ma langue l’effleure lentement, le faisant gémir, s’onduler, frissonner… et là le regarder et le voir fermer les yeux pour apprécier ce supplice de sensualité.

Ma bouche parcoure la plus infime parcelle de sa peau et cherche celle qui va frémir le plus sous ma langue… un peu plus à droite ou à gauche de son ventre… laisser ma bouche, ma langue, mes doigts, mes paumes redécouvrir cette peau qui me fait tant vibrer... Quel plaisir immense que de laisser vagabonder son imagination lorsque je le câline. Chaque caresse, chaque baiser, chaque mordillage de lobe devient la batterie de mon plaisir que je laisse doucement se recharger et monter en intensité… Ma bouche s’empare alors de ce morceau de chair le plus doucement possible, en y déposant juste un baiser pour le lâcher très vite, trop vite à son goût et je continue mon chemin. Je laisse mes lèvres épousées ses cuisses, ma langue suivre ses muscle et revenir en soufflant, là juste là à l’intérieur de ses cuisses et continue ma remontée vers sa queue, vers son plaisir.
Je frotte ma joue contre celle-ci, lui donne de tendres baisers moelleux pour en raidir encore plus cette tige que je veux être mienne. Il laisse parler son corps, sa queue fièrement dressée dans la paume de ma main que je prends délicatement pour l’enrouler de mes doigts, la presser, la câliner du pouce, essuyer les prémices de son excitation. Et finalement c’est ma bouche qui vient s’en emparer… lentement ma langue fait le tour de son gland, descend pour remonter tout le long de sa hampe. Ma bouche épouse le gland qui se gorge de sang, je le pousse dans ma gorge tout en le regardant. Jouant de la langue et de la gorge, je m’amuse avec cette vigueur qui m’offrira l’apothéose de mon envie de lui. Il râle doucement, ondulant du bassin, sa main qui me pousse doucement sur son sexe pour que ma bouche ne cesse de l’avaler. Je me veux douce entre ma langue et mes joues. Mêlés ainsi dans ma salive les va et vient sont plus savoureux pour cette douce queue qui cherche a être libérée de son désir.

Il pose de nouveau sa main à ma nuque, doucement il la dirige aux rythmes de ses reins et fini au fond de ma gorge dépose ainsi toute sa semence, libératrice de son désir de nous. Il a les yeux fermés, un léger sourire flotte sur ses lèvres, la jouissance lui va tellement bien J

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13 août 2008

Sublime Désir...

Quand je suis seule à la maison
et que je laisse vagabonder mon imagination...
je me prend à rêver,...
à rêver de ce que je désire...

J'ai envie de ses bras pour m'enlacer,
Envie de ses mains pour me caresser, envie de ses lèvres pour les savourer,
Envie de sa peau pour la goûter,
Envie de sa chaleur pour m'y réfugier,
Envie de ses désirs pour les réaliser,
Envie de lui, pour l'aimer.

Je ferme les yeux,
Je laisse vagabonder mon imagination encore et toujours,
Et je sens l'envie m'envahir.

J'ai des envies de douceur,
Envie de langueur,
Envie de m'allonger lascivement sur le divan
Sentir le poids de son corps venir couvrir le mien,
Envie de sentir son souffle chaud dans mon cou, sur ma peau frémissante,
Envie de succomber au contact de ses doigts qui m'explorent,
Envie de le faire vibrer sous mes mains,
Envie de faire monter son ardeur jusqu'aux limites du maîtrisable,
Envie de le sentir me conquérir et nous unir,
Envie de le faire gémir et d'accompagner son cri, dans la délivrance de nos plaisirs assouvis.

Puis j'entrouvre les yeux,
Je reviens à la réalité,
Troublée par le désir qui vient de me posséder,
Et je reste là,
Les yeux dans le vague,
Avec une seule chose à l'esprit,
L'Envie de Lui...

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30 juillet 2008

De ta langue, tu me fais tienne...

Je suis allongée sur le lit, tu me regardes, mon corps est nu, mes seins légèrement tombés sur le côté, les bras doucement sur le côté de mon corps, ma tête penchée, mes jambes repliées... Je n’attends plus que toi…

Tu me regardes longuement, tendrement, juste avec tes yeux, sans me toucher, je ferme les yeux, ton regard est indiscret, je le sens me caresser, mais je ne dis rien, ne bouge pas, tu sais que j’apprécie, j’aime me sentir belle quand tu poses ainsi ton regard sur moi. Tes yeux descendent depuis mon visage jusqu'à mon cou, jusqu'à mes seins ronds, sur mon ventre, sur mes cuisses, tu regardes le bombé de mon ventre, puis encore mes seins ... tout doucement, tu approches tes mains tendrement, aussi délicatement que si j’étais endormie. Tu poses tes mains doucement sur mon visage, sur mes joues, autour de mes tempes, prends mon visage entre tes mains et me donne doucement quelques baisers sur le front, sur les yeux, sur le nez, sur les lèvres, sur les joues.

Tu poses de nouveau tes lèvres sur les miennes, t’écartes tes mains, qui glissent sur mon cou, sur ma nuque, sur mes épaules, sur mes bras… tu me caresses, je sens tes lèvres sur ma joue, sur mes oreilles, derrière mes oreilles, sous mon oreille à droite et puis à gauche, sans casser le rythme de tes gestes, sans rupture...
Voilà, maintenant tes lèvres courent le long de mon front, de mes tempes, de mes oreilles, le long de mon cou, sous ma gorge, dans le creux de ma gorge, le haut de mes épaules. Nos mains et nos lèvres se suivent, elles s'accompagnent. Elles glissent d'un endroit à l'autre du corps tout doucement, comme un fleuve tranquille. Si tes caresses me chatouillent, tu appuies un petit peu, pour éviter de trop m'effleurer. Tu t’approches toujours de tes seins, mais ne touche pas, pas encore.
Tu fais circuler tes doigts autour de mes seins, la paume de tes mains sur le côté de mes seins. Tu prends un sein dans chaque main et tu les rapproches vers le milieu, après avoir posé tes lèvres en un baiser entre mes seins, là où c'est si doux et chaud. Tu relèves un peu mes seins avec beaucoup de délicatesse, t'incline un peu ma tête pour poser tes lèvres sur les côtés, sous mes seins, dans le milieu de ton ventre jusqu'au nombril, un petit peu en dessous du nombril. Tu ne touches pas mon sexe et remontes maintenant vers mon visage.
Tu poses tes lèvres encore sur les miennes sans chercher ma langue, simplement léchant l'intérieur de mes lèvres... Tu passe ta langue sur mes dents doucement, de la pointe de la langue, tu refermes tes lèvres avec les miennes et fais glisser ta bouche jusqu'à mes seins en passant par le menton, par le bas de la joue, par le cou, par le côté du cou, par le creux de mes seins.

Maintenant seulement, tu poses tes lèvres plus près de mes seins, le plus près du creux tendre de mes seins, le plus près du bout de mes seins, tu prends le bout de mon sein entre tes lèvres sans lécher, tu poses tes lèvres sur mes aréoles, tu souffles un petit peu d'air chaud, tout doucement tes mains ne restent pas inactives, elles circulent lentement puis un peu fermement depuis mon visage… tu masses mes cheveux, glisse vers mes oreilles, reviens derrière mes épaules et replaces tes mains autour de mes seins, tu les tiens, les soutiens de tes mains et fais allez ta bouche d'un téton à l'autre pour l'embrasser, toujours sans le lécher… et faire que la torture, si douce soit elle, perdure et s’égrène comme les grains de sable dans le sablier.
Maintenant seulement, la pointe de ta langue porte deux ou trois petits coups à droite et puis à gauche, sur le bout de mes seins. Tu prends entre tes lèvres et tète à nouveau la pointe de mon sein doucement, tendrement, sensuellement. Tu rassembles mes seins vers le milieu avec tes deux mains, et tu lèches d'un côté et de l'autre, embrasses d'un côté et de l'autre plusieurs secondes à chaque fois, quand tu sens la pointe de mes seins se durcir du plaisir qui tu m’offres, tu les pinces entre tes lèvres, doucement et pourtat si fermement à la fois. Là tu les lèches, donnes des coups de langue, du plat de la langue, depuis le bas du sein jusqu'à la pointe, lentement, des grands coups de langue, qui me titillent et éveillent d’avantage chacun de mes sens.

cunniTa bouche, Ta langue parcourent mon ventre, en toute part… Tes mains à nouveau sur mes seins me caressent, pendant que ta langue continue de courir sur mon ventre, et Mon nombril. Ta langue s'achemine jusque dans le creux de mon aine, longe le haut du pubis, le bas de mon ventre sans te toucher le sexe, sans cette limite qui me fait tressaillir de plaisir dés que tu sembles t’en approche. Sans briser le rythme, doucement, de tes deux mains, tu m’écartes tendrement les jambes et tes doigts reviennent par le haut de la cuisse, se faufilent dans l'intérieur de la cuisse, sur le côté de mon sexe, puis entre mes jambes… tu es à genoux et continues de faire aller et venir tes mains, tes doigts, ta bouche, ta langue et tes lèvres. Le plus langoureusement possible, tu m’écartes encore un peu les jambes et en prend une dans tes mains que tu caresses, embrasse … Doucement, doucement…
Tu passes d’une jambe à l'autre, j'arrête, ne bouge plus tes doigts, les pose, sur le haut du genou, sur le mollet (tu mélanges volontairement (je le sais, je le sens…) un peu tes gestes pour que je perde le nord... tu n’as toujours pas effleuré mais sexe, mais tu sens ma peau qui frémit et s'affole. Et moi, je me régale tout autant que toi des ces caresses interminables qui sont d’une douceur sans nom… de ces frissons qui me parcourent la peau chaque fois que tu me touche.

Avec tes doigts, tes yeux, ta bouche, tu me goûtes, tu me manges, tu me dégustes... Tes caresses se font légères, à droite, à gauche, en haut, en bas, mon visage, le creux des mes cuisses, le haut de mes cuisses, mon ventre ... humm… je n’en plus peux plus et tu sens mes vibrations et perçois mon appel. Mes jambes s'ouvrent d'elles-mêmes, et toi, tu fais mine de ne rien voir, mais tu te rapproches doucement de mon sexe, tu le touche, tu le touche ENFIN… très doucement, tendrement, alors que j'en mourrais d'envie depuis si longtemps… et là je sens ton envie et reçois ton baiser.
A genoux entre mes cuisses, ton visage vers le mien, tu me caresses du nombril aux genoux en passant par l'intérieur des cuisses... Me saisissant par les fesses, tu poses ton visage sur mon ventre, chaque fois ta bouche me frôle et je sens l'appui humide de ta langue. Cette langue qui descend… Elle descend dans le creux de ma cuisse, juste entre mon sexe et l'intérieur de ma cuisse, droite, puis la gauche, fait le tour de mon pubis, contourne ce petit mont désertique où seule une oasis t’attend... Tu attends... Tu attends que je te demande de poursuivre, de poser ta bouche et ta langue sur mon sexe ?
Tu fais durer le plaisir, encore et encore ... Tu laisses glisser ta langue dans le creux de mes fesses, à droite et à gauche jusqu'à atteindre cet antre dont tu raffoles, que tu taquines du bout de ta langue.

Mon ventre se tend, mon sexe s'offre à moi... et pourtant tu continues de me faire languir, encore ... Mon bassin bouge, j’ondules et je me tends vers toi, mais tu le laisse toujours patienter… encore et pourtant je ne fais que réclamer ta lange… Alors tu la glisses, me lèche et me caresse du bout de la langue le périnée... tu sais que j’aime aimes, que je vibre encore plus fort et tu vas me faire craquer ... et toi tu me croques ! Hummmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm encore …
Ta langue remonte à l'intérieur de mon sexe, soulève mes lèvres, me caresse, me fouille et découvre le point culminant mon clitoris. Je sens ta langue, mon tendre amant, qui tourne autour, le presse, le bouscule, le taquine. Je me cabre et m’accroche à toi, je veux que ta bouche reste collée à moi, que ce baiser cunnilingual dure et dure et me fasse râler de plaisir, d’envie et de jouissance. Puis avec les deux doigts d'une main, tu maintiens le haut de mon sexe, ouvert et légèrement relevé pour dégager mon clito et de l'autre main, tu glisses ton pouce à l'entrée de mon vagin. Tes autres doigts, tous mouillés de salive sur mon antre et en appui sur le périnée, tu continues à me caresser en me donnant plein de petits baisers.
Tu approches doucement tes lèvres de mon clito, petit bouton que tu sais si bien faire fonctionner. Tu l’embrasses, tu le mouilles, tu le caresses à coups de petits coups de langue légers, puis bien étalée, bien ouverte, bien à plat, sur mon bouton qui n'attend que cela. Tu entreprends de me lécher tout doucement, de bas en haut, comme une sucette glacée. Mon corps ondule et tu entends mes longs soupirs d'extase.

Tu arrêtes tout. Ecoutes mon corps, Ecoutes mon coeur et reprends tes caresses très doucement, de bas en haut, du plus bas au plus haut, toujours avec le plat de ta langue... Mon orgasme arrive, tu le sens. Soupirs et râles de plus en plus profonds, ondulation du corps, mon bassin s'offre, je suis inondée de plaisir et dès que je t'écarte, je me replace contre ta langue... Tu continues à me lécher à la même cadence et ne lâche plus mon clitoris. Tu me manges encore et encore...Tu me laisses venir, tu laisses monter le plaisir, tu attends… Je gémis… me manifeste bruyamment… le plaisir me submerge, je cries ...

L'orgasme m'affole, je jouis ! Et tu es toujours là, tout contre moi…. J

envie_de_toi

28 juillet 2008

Action...

Je me dirige vers la cuisine pour préparer l’apéritif… Vaquant à mes occupations, tout en étant absorbée par son image troublante, je n’entends pas la porte s’ouvrir. Lorsque je me retourne, sa proximité m’arrache un cri de surprise. Sans un mot, il se rapproche de moi et je me laisse imprégner de l’odeur qu’il dégage. Je n’avais jamais remarqué auparavant l’odeur suave et poivrée que son parfum dégageait. Ma tête tourne... mon pouls s’accélère au même rythme que ma respiration...

Il glisse une main dans ma chevelure, puis l’empoignant fermement, il m’attire à lui, soudant ses lèvres aux miennes. Je réponds avec fougue à ses baisers qui remplissent mon corps de chaleur et produisent déjà une certaine humidité entre mes jambes. Toujours dans un silence religieux, il m’embrasse dans le cou, laissant ses mains baladeuses explorer les courbes de ma féminité. Je laisse échapper un soupir, lorsqu’il retire mon caraco et libère ma poitrine gonflée de désir. Il y promène sa bouche et ses mains dans une alternance précipitée. Puis, il défait ma jupe et me met complètement à nue. Le léger froid de la pièce me fait frissonner, mais je me délecte du contraste qu’il produit avec la chaleur de ses mains....

Il se met à genoux devant moi et soude ses lèvres à mon sexe. Je frémis, pose mes mains sur sa tête et fermant les yeux me laisse posséder par le plaisir qu’il me procure. Il remonte lentement vers moi, laissant glisser sa bouche sur mon ventre, s’attardant à nouveau sur ma poitrine.

Je dirige ma main vers sa queue qui au travers de son pantalon tente de me démontrer son ardeur. Je fais glisser son pantalon, libérant ainsi cette queue gonflée mais tellement douce sous la paume de ma main. Aussitôt, il m’empoigne, me retourne et me penche sur la table et promène son sexe sur mes fesses et le laisse glisser entre mes cuisses. Il me pénètre lentement, me laissant ainsi savourer l’ascension de son membre. Il donne quelques vigoureux coups de bassin avant d’accélérer son rythme. Ses mains fermement accrochées à mes hanches, il guide mes mouvements.
Je cambre le dos sous le plaisir que me procure un orgasme. Après un va et viens endiablé, il me retourne et approche sa queue de ma bouche, que j’avale avidement. Il pose ses mains sur ma tête m’obligeant à garder un rythme rapide. Très rapidement il se déverse en moi avec un soupir de satisfaction. Sans un mot, nous nous habillons. Il quitte la cuisine en me souriant au moment où je pose mon regard sur le caméscope qui a tout enregistré de nos ébats…

Action

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Tout Simplement Nousse...
  • Mon désir le plus intime est de vous emmener loin de vos soucis... De vous faire rêver, aussi longtemps que vous me lirez. Le temps que vous m’accorderez, sera pour vous. Installez-vous confortablement dans un fauteuil et prenez-moi dans vos mains. Li
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